Villers-lès-Nancy, France

Le vice-président de la Région Grand-Est, délégué au Sport et à la Jeunesse, François Werner nous a reçus dans sa mairie de Villers-lès-Nancy, en Meurthe-et-Moselle, pour évoquer la préparation des Jeux Olympiques de Paris 2024 différemment. Quels engagements assume une région presque aussi large et peuplée que la Suisse aux confins de la région parisienne? L’homme politique, notamment passé par les cabinets ministériels de Nicolas Sarkozy en 1993 et de Guy Drut en 1995, avant de brièvement rejoindre le CIO entre 2000 et 2002, raconte la décentralisation et ses enjeux.

De Paris (France)

Franjo, c’est moins drôle que François-Joseph. Pourtant, c’est le nom de scène d’un humoriste parisien de 29 ans. Depuis trois ans et demi, il a fait ses preuves sur le web en cumulant des millions de vues et s’attèle désormais à la création de son premier spectacle. En effet, un rodage est prévu le 1er mars au Point Virgule, une salle culte de l’humour dans le Marais. Pour cette interview, le rendez-vous est fixé avec l’intéressé au Paname Art Café après son… cinquième plateau de la soirée. Il vient d’y tester deux ou trois nouvelles blagues en vue de sa future échéance et se présente un peu fatigué, mais non sans plaisir, pour répondre à quelques questions. En effet, sa dernière vidéo sur le coronavirus interpelle.

Renaud Lavillenie venait tout droit de Clermont-Ferrand. Après avoir disputé le meeting à Paris, le perchiste tricolore a pris la route de la Suisse pour “inaugurer” la première épreuve du saut à la perche hors stade du meeting Atletissima de Lausanne. Réunissant les meilleurs mondiaux – parmi lesquels apparaissaient Sam Kendricks et Armand Duplantis –, le plateau de la perche délocalisé à Ouchy, sur les bords du lac Léman, a tenu des promesses élevées, sur le plan de la compétition devant un millier de curieux. Le Tricolore prendra ensuite la route d’Albi pour y disputer les championnats de France, puis celle du Maroc pour la neuvième étape de la Diamond League à Rabat.

De Rive Gauche, Paris (France)

Le communiqué de la Fédération Française d’Athlétisme (FFA) communique une information pressentie depuis samedi soir à Charléty: le sprinteur Christophe Lemaître est forfait pour les Championnats d’Europe de Berlin (du 7 au 12 août prochains). Le starter tricolore a été victime d’une déchirure musculaire à la cuisse droite lors de son 100 mètres B au Meeting de Paris. De mauvaise augure pour l’athlète de 28 ans, dont la blessure intervient à moins d’une semaine des Championnats de France à Albi (du 6 au 8 juillet).

Du Stade Charléty, Paris (France)

Devant 16’535 spectateurs, le stade Charléty a vibré au rythme de “ses” Français. Il y eut le récital de Kevin Mayer au triathlon (saut en longueur, poids et 110m haies), il y eut la performance en demi-teinte de Renaud Lavillenie (5,84m) à la perche; sans jambes mais avec le plaisir de concourir dans “son” Meeting international de Paris, il y eut également Jimmy Vicaut, deuxième des 100m derrière l’intenable Américain Ronnie Baker, meilleure performance mondiale de l’année, et puis il y eut aussi Pierre-Ambroise Bosse. Le champion du monde des 800 mètres de Londres aura comme beaucoup, encore énormément d’ajustements pour tenir la distance. « Le Meeting de Paris laisse toujours un bon souvenir. Le public français est très gentil avec nous », confiait-il alors.

De Rive Gauche, Paris (France)

Rencontres insolites à la journée de la presse du Meeting de Paris. D’habitude inconnus au bataillon de la Ligue de Diamant, les athlètes issus du monde des épreuves combinées font rarement leur apparition sur le perron de la compétition. Le décathlonien tricolore Kevin Mayer et l’heptathlonienne belge Nafissatou Thiam font ensemble une apparition remarquée au Marriot Hotel de Rive Gauche à Paris. Si le Français a déjà concouru à un triathlon l’année passée dans le cadre du même meeting, délocalisé pour la première fois du Stade de France vers le 14e arrondissement, la Wallonne, quant à elle, en sera à sa première Diamond League en carrière. Elle y affrontera nulle autre que Mariya Lasitskene sur son sautoir de la hauteur. Focus.

En adaptant deux récits du recueil éponyme de Duras, Emmanuel Finkiel revient à la Seconde Guerre qu’il avait déjà abordée dans Voyages (1999). L’auteur de Je ne suis pas un salaud (2005) rejoint la liste fournie des cinéastes ayant eu l’audace – ou le malheur – de se frotter aux textes de l’écrivain. Une belle surprise de ce début d’année à découvrir en salle dès ce mercredi 24 janvier.