Consacré à l’Europe du Sud, le Village du Monde du festival nyonnais offre une diversité déconcertante : du fado aux sonorités grecques en passant par les chœurs corses. « La fréquentation du Village du Monde a rendu un quelque chose de magique à cette fantastique édition », relevait même en conférence de presse de clôture Daniel Rossellat. L’Italie n’est bien sûr pas en reste, et a figuré, avec Vinicio Capossela, au sommet de son art. L’auteur-interprète transalpin a transporté le public du Dôme avec ses créations, mêlant le folklore à des univers fantasmés, emplis de créatures et de mystères.
Jacques Monnier
À l’orée du printemps, les programmateurs du Paléo présentaient la grille horaire du plus attendu des festivals romands. Résolument tourné vers le hip-pop, la 43e édition embrasse la scène urbaine, des intouchables Gorillaz, Nekfeu, Orelsan, et Suprême NTM aux révélations omniprésentes que sont Eddy de Pretto, Roméo Elvis ou encore Bigflo & Oli. Quant au rock, il se contente de la petite part du gâteau avec des valeurs (trop ?) sûres : Depeche Mode, The Killers, Lenny Kravitz ou encore Indochine.
Fils aîné de Jacques Monnier, programmateur sensiblement reconnu du Paléo Festival, Mathieu est entré à faire part du comité de programmation du Montreux Jazz Festival il y a cinq ans maintenant. Il nous raconte la programmation du Lab et – surtout – de la nouvelle salle gratuite, “Lisztomania” qu’il a daigné composer avec David Torreblanca. Interview.
Jeudi 11 mai, pour son spectacle attendu par la jet-set lausannoise, Thomas Wiesel a tout donné pour faire honneur au stand-up. Il n’a plus rien à envier aux humoristes américains qui l’ont inspiré.
Recette secrète ! Le Paléo a enchanté son public pour sa 40e édition. Face à la fatigue cumulée, l’énergie est restée explosive pour le final de dimanche. En guise de synthèse, un récapitulatif de la semaine. Clap de fin sur le terrain de L’Asse.